3:/LE JOURNAL DU RIEN- RICHE IDÉE Mon cœur il y a de sa des mois c’est brisé Comme l’aurore il se réveil doucement Entraînant avec lui ce décor si rosé De loin j’ai cru apercevoir quelques scintillement C’est un mirage, une oasis Que je m’imagine pour éviter d’être triste La nature de mes maux N’est là que de ma faute Elle me fait signe en m’regardant de haut D’en bas je la perçois Mais je ne saurai la reconnaître Car pour sa j’aurai mis un L apostrophe Trop de vicieuse tromperie Pour nombre petite connerie Alors je n’en fais rien mais quelle catastrophe Elle viendra me recarder, me montrer quel homme je doit être Ce jour viendra et enfin je pourrais dire que je l’aperçois Saint marie mère de Dieu Je n’ai été très pieux Je le sais, maintenant je te promet de faire de mon mieux La vie est digne d’être vécu et de ne pas trop tôt rêver des cieux (d’essieu) Le reve me brise le cœur, brise mes envies de rêveur qui s’affranchit de toute torpeur Épris de douleurs je crie Elle me vole tout de même mon orgueil et mon honneur Moi de vil esprit trompeur Je ferais tout pour m’en sortir m’échapper de cette prisions Qui m’écorche ma tête et m’enlève ma bien-pensance et mon idée du bonheur D’en bas je la perçois Mais je ne saurai la reconnaître Car pour sa j’aurai mis un L apostrophe Trop de vicieuse tromperie Pour nombre petite connerie Alors je n’en fais rien mais quelle catastrophe Elle viendra me recarder, me montrer quel homme je doit être Ce jour viendra et enfin je pourrais dire que je l’aperçois